Jean-Claude Arrougé

Jean-Claude ARROUGÉ

 

Jean-Claude Arrougé a connu Violette Leduc lorsqu’il avait dix-neuf ans. Une amitié de trois ans, intense et intellectuellement très riche, s’en est suivie jusqu’à la mort de Violette à Faucon en 1972. Il consacre régulièrement une page de son blog à son auteure de prédilection.

Jean-Claude nous raconte cette amitié et montre, en contrepoint de Carole Achache qui a connu Violette Leduc en pleine dépression, qu’on a pu être séduit par la sérénité retrouvée de l’écrivaine à Faucon. Celle-ci, tout en se sachant malade, attirait vers elle une foule de jeunes intellectuels et savait les captiver.

Dans son texte « mon choc n’est pas unique », d’après son précieux témoignage au colloque, Jean-Claude veut aller au-delà de ce qui, malheureusement est l’image qui « colle à la peau » de l’écrivaine. En effet, derrière une Violette fantasque, capricieuse et -en apparence seulement- égocentrique, se cache une personne sensible, pleine d’humour et dotée d’une grande qualité d’écoute.

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